Chikasui, Conseillère du Royaume d'Amnesia

Vers midi environ sous les chauds et puissants rayons du soleil, avançait tranquillement un groupe composé de quatres grands elfes musclés et d'une jeune elfe d'environ 14 ans à la longue chevelure blonde et au teint mat. Après de longues et fatiguantes journées de marche, les elfes arrivérent enfin devant le Sanctuaire du Calice de Jaspe.

La jeune elfe ouvrit la bouche et commença un discours.

Je vous salue Dame Halinna et les seigneurs du Calice. Je me présente Chikasui d'Amnesia. Je dirige ce royaume depuis l'attaque qui a été faites sur lui, il y a déjà quelques semaines, pendant la nuit par des barbares. Nos forêts ont été brûlés, nos champs piétinés et nos maisons et notre magnifique palais ont été détruits. La famille royale et tous nos druides excepté moi ont été tués. Malgré mon jeune âge mon peuple m'a choisi pour le diriger. Parce que je suis le dernier druide encore vivant et parce que j'était fiancé au prince héritié d'Amnesia. Je suis donc venus vous voir pour vous demander du soutien millitaire!!!! Mon peuple en a bien besoin.

Chikasui était stressé car ce discours était improvisé et aussi parce qu'elle avait tellement de responsabilité à assumer pour une elfe de son âge. "Pourquoi je n'est pas tous simplement refuser de diriger Amnesia?!" pensa-t-elle. Elle se rapella alors des dernières paroles de son fiancé. "Chikasui quand je serais mort... Je veut que tu veilles sur Amnesia pour moi." lui avait-il dit. Ne voyant personne venir les accueillirs elle et ses gardes, la jeune elfe osa entrer dans le sanctuaire sans qu'on l'ai invité à le faire. Ses gardes lui emboitèrent le pas.

Ne voyant personne dans le sanctuaire, elle cria.

EST-CE QU'IL Y A QUELQU'UN DANS CE SANCTUAIRE?!

Ne voyant personne arrivé les elfes s'assirent part terre et en profitèrent pour manger le reste des maigres provisisons qu'ils avaient. Puis ils firent une petite sieste sur les pierres qui composaient le sol du sanctuaire.

Koveras se délaissait de ses travaux quotidiens. Comme de coutume, il avait entamé sa journée peu avant l’aube. Depuis quelques temps il accumulait des pièces à l’encontre d’un seigneur érudit et valeureux au combat, un certain Yksiomaz. Ce dernier témoignait d’un peu trop de succès dans ses entreprises au goût de Koveras. Il en ferait bientôt ou son bras droit…ou la victime d’un « accident ».
Quoiqu’il en soit, le Chancelier et Héraut du Calice avait rapidement mangé du bout des doigts les volailles rôtis qu’il avait demandé, et il profitait d’un soleil hivernal pour lire en son quartier quelque ouvrage propre à lui faire oublier ses tracas.
C’est alors qu’il se détendait ainsi qu’on l’informa de l’arrivée d’étranges mendiants aux origines elfiques qui semblait décider à s’installer au sein du sanctuaire. A leur vue, les gardes s’étaient décidé à les chasser au bout de quelques temps, mais on avait reconnu le blason d’Amnesia et l’équipage ressemblait davantage à de nos fuyards égarés qu’à de simples vagabonds.
Koveras cilla à cette étrange nouvelle, et ceci d’autant plus qu’il s’agissait d’une fillette accompagnée de quatre hommes, et qu’on lui répéta l’étrange discours qu’elle avait prononcé.
Et bien soit, soupira-t-il, qu’on m’amène ces étranges visiteurs. Peut-être auront-ils à narrer quelque bonne histoire propre à me divertir…
Le garde allait se retourner, lorsque le Héraut du Calice pensa à un détail. Il interpella à nouveau son serviteur, lequel se retourna :
Qu’on prévienne également les autres seigneurs du Calice de l’arrivée de l’héritière au trône d’Amnesia, et qu’ils viennent ici la saluer et prendre connaissance de son message.
« Après tout, il suffirait d’un vaurien d’Ezkanya pour venir à nouveau couiner que j’accueille volontiers les jeunes filles égarées.. »
Le chancelier soupira alors sur la lourde tâche qui lui incombait, et sur la trop grande performance de son réseau d’informateurs qui l’amenait presque toujours à accueillir le premier les pèlerins au Calice… (HRP : tongue

ça c'est pour toi Laurent tongue

)

Pendant sa sieste Chikasui fut réveillé par les bruits de pas des gardes qui approchaient d'elle et sa garde rapproché.

Enfin je croyait que ce sanctuaire était abandonné!!!,dit-elle,Je vous prie de nous excuser mes hommes et moi d'avoir occupé le hall de votre sanctuaire pendant quelques heures.

Mais se n'est rien Mademoiselle je vous l'assure,déclara un des gardes,Veuillez nous suivre s'il vous plait. Kevoras le chancelier du sanctuaire demande à vous voir.

Très bien, répondit la jeune elfe.

Les cinq elfes se levèrent et suivirent les gardes dans les couloirs du palais. On les fit entrer dans une salle. Les gardes refermèrent la porte derrière eux et partirent. La demoiselle et ses gardes firent une courte révérance devant le chancelier.

Je me présente Chikasui Reine enfin Conseillière du Royaume d'Amnesia, se présenta le jeune elfe, je suis ravit de vous rencontrer.

La demoiselle regarda attentivement Kevoras. "Je ne peut pas croire ce que les rumeurs disent sur cet homme. Il a l'air bien trop gentil pour un mercenaire sans foi ni loi et trop bien éduqué pour un homme qui fréquente très intimement des jeunes filles." se disait-elle intérieurement.

Le chancelier du Calice avait nonchalamment attaché la fibule qui retenait la cape noire. Celle-ci contrastait avec ses rouges accoutrements. Du pourpoint jusqu'aux bottes en passant par les manches crevées, la vivacité des étoffes marquait l'esprit de ses interlocuteurs. Mais pour Koveras, elle lui rappelait l'époque où il errait sur les routes avec sa troupe de mercenaires.
C'est donc en cette apparence qu'il accueillit le nouvel équipage. D'un regard rapide le héraut du calice jaugea chacun des nouveaux arrivants, tandis qu'un large sourire se dessinait lentement sur ses lèvres.
Damoiselle d'Amnesia. C'est assurément un plaisir que de vous accueillir en ces murs. (A ces mots, le chancelier fit une légère salutation). Que nous vaut l'honneur de votre visite ? Et par quelles tristes aventures vous êtes vous retrouvée ainsi perdue dans notre sanctuaire?
Il décida d'aller se servir une coupe de vin et, tandis qu'il en remplissait deux coupes, il demanda:
Je vous entend bien et ai noté votre hésitation...Reine? Conseillère? Seriez-vous venu adorer le Calice pour qu'il vous soutienne dans vos entreprises (que j'imagine sans nul doute ambitieuses), ou bien simplement par une louable piété?
Se retournant, il tendit une des deux coupes à la jeune elfe.

Chikasui prit la coupe que lui tendait Kevoras et but un peu de vin.

J'admets mon hésitation, commença l'elfe, c'est parce qu'on ne peut pas vraiment dire que je suis une reine puisque je ne suis pas de la famille royale. Et chez nous les elfes quand c'est ce cas on parle de conseiller et de conseillère...

La damoiselle prit une légère pause pour prendre une gorgée de vin.

Mais, puisque dans le beau royaume d'Amnesia il n'y a plus de famille royale, repris la jeune elfe, je crois que l'on pourrait parler de Reine dans mon cas. Donc reine se sera!!!!

Tous de suite après avoir terminé sa phrase la jeune reine termina sa coupe d'une seule et unique gorgée.

Mes hommes et moi sommes venus ici parce qu'il y a bientôt un mois de cela notre royaume a été attaqué par des barbares, tous a été brûlé et détruit, beaucoup de gens on été tué en particulier tous les membres de la famille royale et tous nos druides excepté moi.

Chikasui prit une courte pose le temps de verser quelques larmes en repensant à l'attaque.

Et comme j'était la fiancée du prince héritié du trône et que je suis la dernière druide, mon peuple ma choisi pour en être la reine ce fut pour moi un grand honneur. J'avait déjà entendu parler de votre ordre si je puis dire. Et j'ai pris la décision de partir à la recherche de votre sanctuaire pour vous demander de l'aide et parce que vos idéaux sont les mêmes que les miens.

La jeune reine éclata de rire et continua de rire en parlant.

Malheureusement, mes hommes et moi nous sommes perdus en cherchant votre sanctuaire, dit-elle en riant comme une folle.

La damoiselle reprit peu à peu son sérieux et regarda le chancelier droit dans les yeux.

Mon cher j'ai une question à vous poser, dit-elle sévérement.Est-ce vrai que vous êtes un ex-mercenaire sans foi ni loi?!

Elle n'osa pas demander la deuxième chose à laquelle elle pensait de peur de vexer son hôte.

Assassin d'Elite du Calice Messages : 228 Date d'inscription : 18/05/2009

Dans l'empressement de respecter les ordres donnés par le Capitaine Koveras, le garde ouvrit la porte de la chambre ou devait se trouver le seigneur Dartoil en omettant de frapper.

Il avait eu le temps de ne faire qu'un pas dans cette pièce qu'il se retrouvait déjà une dague sous la gorge.

C'est très imprudent de rentrer ici sans se faire annoncer... Que me veux tu... dit-il d'une voix froide.

Je... je... excusez moi seigneur... c'est le Capitaine Koveras qui m'a chargé de vous convier, vous et tous les seigneurs du Calice afin de recevoir l'héritière au trône d'Amnesia.

Sans dire un mot, l'assassin retira sa dague. Le garde ferma les yeux un instant, prenant de grande inspiration pour évacuer le stress de cette situation. Lorsqu'il réouvrit les yeux, Dartoil n'était plus là.

Il y avait peux de chance pour que sa présence ai été demandé pour parlé diplomatie, en revanche il était possible que cette héritière représente une menace ce qui pourrait justifier la présence de l'assassin.

Contrairement à ses habitudes, de noir vêtu il entra par la porte principale.

Rapidement il observa et analysa la situation. Quatre elfes sachant se battre, une très jeune elfe se trouvait face au Capitaine. Ils avaient tous deux une coupe à la main, et de toute évidence il s'agissait de vin.
Dartoil ne pu s'empêcher de se demander si l'elfe paraissait beaucoup plus jeune qu'elle ne l'était réellement, ou si c'était le Capitaine qui était maladroit de lui offrir de l'alcool. Vue que Koveras semblait ne pas se soucier des quatre autres elfes, l'assassin fût persuadé qu'il s'agissait de la deuxième solution.

Les elfes ne semblait pas agressif, et cette race était généralement assez pacifique.

Ne voulant pas interrompre leur conversation, Dartoil s'avança vers le Capitaine tout en saluant d'un signe de tête les convives.

Le Héraut écouta avec intérêt ce que lui narrait la jeune elfe. Le verre de vin avait été accepté et la jeune fille revendiquait ouvertement son titre de reine. Il l'écouterait donc jusqu'au bout avant de décider si elle était une jeune noble prétentieuse ou une future souveraine digne d'attention. Mais à la question de la "Conseillère", Koveras ne put contenir un rire tonitruant:
Ah! L'impudente! Voilà bien longtemps qu'on ne m'avait servi de telles injures aussi ouvertement!
(Il faut dire que le Galathornien qui serait tenté de le faire devait également être prêt à en assumer les conséquences...)
Ma foi, chère "Conseillère", il fut un temps où je vagabondais de manière aussi singulière que la vôtre, mais avec moins de noblesse et davantage d'hommes d'armes. Ma foi était en ma lame et la loi dans ma bourse. Mais ceci est un temps révolu depuis bien des années maintenant.
Ici, le Calice demeure et c'est pour le servir que je réside en ses murs. Par mes lèvres qui ont gouté sa puissance, j'ai trouvé la foi. Par son service, j'ai trouvé ma seule loi. Cependant...
A cet instant, on entendit un léger pivotement et quelques pas feutrés. Les regards eurent à peine le temps de se tourner vers l'ombre qui se positionnait aux côtés du Héraut du Calice : Dartoil venait d'arriver. Koveras le salua respectueusement avant de le présenter à leur invité :
Jeune Chikasui, voici sir Dartoil de Rotergan, serviteur du Calice et "nettoyeur" de renom. C'est une personne aux qualités certaines qui aura à cœur, j'en suis sûr, de faire disparaître bon nombre des problèmes dont vous me parliez.
Mais dites-moi, puisque vous avez trouvé le courage de poser votre première question, quelle est la seconde qui vous brûle les lèvres?

La jeune elfe écouta attentivement ce que lui disait le chancelier. Quand il eut finit, la demoiselle poussa un léger soupire.

Messire Kevoras l'idée de vous injurier était loin de moi bien loin je me demandait seulement si les rumeurs qui courent dans mon royaume étaient exact!!!!

Quand elle eut terminé sa phrase dans une impulsion elle lui lança sa coupe au visage.

Et sachez que mes hommes et moi ne vagabondons pas. Nous nous étions seulement perdu pendant 2 semaines,, cria-t-elle.

Puis la demoiselle se tourna vers Dartoil, l'examina de la tête aux pieds et plongea un regard extrêment froid dans le sien.

Je sais ce que vous vous demandez. Vos yeux disent tout!!!!! Vous vous demandez ssi je suis aussi jeune que j'en ai l'air. Et bien oui mon cher ami je suis très jeune!!!! Je n'ai que 14 ans, dit-elle simplement.

Chikasui se rendait bien compte que ses interlocuteurs étaient un peu surpris mais qu'ils essayaient de le cacher.

Mon Cher Kevoras la question qui me brûle les lèvres est la suivante. Est-ce vrai que vous êtes un gros pervers qui frèquente des jeunes filles de moins de 18 ans?!

Puis la jeune elfe se tût, elle avait peur d'avoir blesser le chancelier moralement et physiquement en lui lançant précédement la coupe.

Assassin d'Elite du Calice Messages : 228 Date d'inscription : 18/05/2009

La jeune elfe était bien imprudente et n'avait pas hésité à lancer sa coupe au visage du Capitaine.

Elle croyait tous savoir de l'assassin rien qu'en regardant ses yeux, la vie ne lui avait donc pas encore montrer toute la cruauté des hommes, mais rien d'étonnant pour une si jeune elfe.

Je ne doute pas de votre age, je me demandais juste pourquoi le Capitaine vous avait offert de l'alcool et également pourquoi vous l'aviez but... Peut être pour faire comme les grandes personnes?

Bien que sa remarque pouvait vexer, elle avait été dite d'une voix neutre.

En revanche, sa dernière question adressée à Koveras surpris Dartoil. Non seulement il ne connaissait pas cette rumeur et ne pouvait donc savoir si elle était fondée, mais en plus on pouvait se demander pourquoi elle avait osé poser cette question.

Même si son jeune age pouvait excuser beaucoup de maladresse, une telle question devait avoir des raisons cachées.

Quelle était la véritable motivation de sa venue en ce lieu? Etait-ce dans le but de tuer le Capitaine si il avait le malheur de confirmer ces rumeurs?

Tout en restant immobile, l'assassin observait les moindres gestes des 4 autres elfes, cherchant à anticiper toute action. Si jamais ils commençaient à devenir nerveux, cela signifierait qu'ils passeront bientôt à l'action.

Quoi qu'il arrive, l'assassin était calme et détendu tout en appréciant l'idée qu'il allait peut être bientôt rentrer dans son élément.

A cette heure, Koveras avait accumulé une certaine expérience de la guerre et de la diplomatie. Il avait été confronté à de nombreuses situations, mais jamais encore on l'avait insulté de la sorte et encore moins lancé la coupe qu'il tendait. Passe encore si son agresseur avait été son supérieur ou qu'il avait commis un acte pouvant susciter une telle ire, mais en l'occurrence le chancelier conclut rapidement qu'il avait affaire à une jeune princesse écervelée et capricieuse.
C'est donc en tentant de dissimuler sa surprise qu'il reçut le contenu de la coupe. Il resta un temps comme interdit, avant de s'abaisser à la ramasser, un sourire mauvais aux lèvres:
Et bien... je comprends pourquoi "votre seigneurie" (l'ironie crevait dans sa voie) a besoin de soutien pour pouvoir régner. Avec de telles mœurs je m'étonne encore de vous voir en vie. Je ne doute pas que les quatre laquais vous accompagnant se lamente chaque soir d'avoir à supporter pareille maîtresse.
Koveras marqua une pause et, s'essuyant le visage d'un mouchoir tiré d'une de ses manches, il appela ses serviteurs.
Quant à mes goûts en matière de dames: soyez rassurée. Je les aime douces et constantes, sages et expertes. Tout l'inverse de votre personne comme de toutes les garces qui désespèrent leurs entourages.
Mais il me semble étrange qu'une personne raisonnable vienne demander aide et assistance à un quelconque "pervers", surtout lorsqu'il s'agit d'une enfant comme vous, aussi vais-je vous faire conduire séance tenante en lieu sûr...très loin d'ici. De toute manière, je ne doute pas que vous vous soyez maintenant habituée au vagabondage.

C'est à cet instant que le serviteur vint. Le héraut du Calice lui signifia que le Chancelier trouvait indésirable la prétendue dame Chikasui d'Amnesia, et qu'on devait la reconduire en dehors de la forteresse-sanctuaire. Au regard de Koveras le serviteur comprit, et c'est avec les honneurs d'une escorte nombreuse que les 5 elfes furent reconduits hors des murs. S'ils désiraient entrer au sein de l'enceinte, la responsabilité en incomberait à un autre serviteur du Calice. Et nul doute que cela mécontenterait le chancelier.
Ceci fait, Koveras jeta un regard amusé sur Dartoil. Le valeureux assassin, pour une fois présent à l'accueil d'un éventuel "candidat", venait assurément d'assister à une scène peu commune. Koveras en rit et le pria de croire que, d'ordinaire, les choses prenaient une tournure plus agréable. Car, et c'est bien connue, l'art délicat de la politique comme de la conversation sont l'apanage des gens de qualité.
Pour l'heure, il ne voulait plus entendre parler de celle qui resta dans sa mémoire comme "la petite peste".

La damoiselle écouta les injures que lui balançait son interlocuteur. Quand il eu finit de parler, elle n'eut même pas le temps de dire un mot qu'elle et ses hommes se fesaient mettre en dehors du sanctuaire.

Je reconnait être une petite peste capricieuse et colérique mais je ne suis pas une garce, je me demandait seulement si les rumeurs étaient vraies!!!!!!! Et nous ne sommes pas des vagabons, gueula Chikasui de l'extérieur du palais à l'intention de Kevoras.

Quand elle eut finit de gueuler la jeune elfe s'assit par terre le dos appuyer sur un arbre. Elle n'était nullement décider à quitter les lieux.

Nous ne partirons pas t'en que nous ne nous serons pas expliqué avec le chancelier, cria-t-elle a un garde.

Les 4 elfes qui l'accompagnaient poussèrent tous ensemble un long soupire et s'assirent par terre.

Vous avez remporter une bataille mais pas la guerre, hurla-t-elle à l'intention du héraut.

Mais quel vieux chnoque colérique et irritable, se dit intérieurement la jeune reine.

Puis la jeune elfe se mit à bouder comme une gamine de 5 ans.

HRP: Je n'ai rien contre toi IRL Chikasui, mais on ne me balance pas n'importe quoi à la figure ni ne m'insulte de la sorte. Mon personnage a rempli son office en ce qui te concerne, et il ne reste plus qu'à compter sur la bonne volonté d'un autre joueur pour nous rabibocher (après que j'ai entendu des excuses bien sûr). Et oui, c'est la dure réalité du RP. Ceci étant dit, si ton RP consiste à jouer la gamine insupportable, il est très réussi Wink

Après plusieurs heures passé à bouder la damoiselle se releva et sortir une feuille de papier parchemin, un plume et un encreir portatif bien fermé. Elle s'assit sur la route de pierre qui menait au sanctuaire, ouvrit son encrier, y trampa sa plume et commença a écrire une courte lettre dans laquelle il était écrit:

Cher Kevoras,

je vous prie de pardonner les injures que je vous ai dites. Les vôtres sont pardonnées au moment où j'écris cette lettre. Si vous avez quelque chose à me dire faites le avant demain soir. Car à la tombée de la nuit mes hommes et moi repartiront pour les terres d'Amnesia.

Cordialement,

Damoiselle Chikasui d'Amnesia.

Quand elle eut finit la rédactions de sa lettre elle rangea son encrier et sa plume dans son sac et marcha jusqu'au sancutaire. Arrivé devant les portes elle donna la lettre à un garde.

Pourriez-vous remettre cette lettre à Kevoras s'il vous plait?!demanda-t-elle gentiment.

Bien sûr mademoiselle, répondit-il aussi gentiment qu'elle lui avait demander.

Après ce court échange elle reparti sous son arbre faire une petite sieste et le agrde partit porter la lettre au chancelier.

Le lendemain soir, n'ayant reçus aucun message ni visite de la part d'un seigneur du Calice. Chikasui dit à ses hommes de se préparer à repartir à Amnesia.

Vous avez gagner je renonce à faire partit de votre ordre et quitte Thassopole. Pour que mon peuple rejoigne la Belle Amphise là où il vous est à vous les hommes interdit d'entrer., cria-t-elle à l'intention de Kevoras et des seigneurs du Calice en général.

Puis elle et ses hommes partirent à la course dans les bois et la nuit.

HRP:Je t'emmerde Kevoras!!!!!

HRP : Bon débarras; mettez vite la capricieuse dans les archives qu'on en parle plus...

HRP : C'est un plaisir que d'accueillir les visiteurs...

Visiteur Messages : 11 Date d'inscription : 17/04/2009

Intéressante conversation Laughing

même si j'ai pas tout compris... Laughing

Finalement qui saura dire si c'était du RP ? (Une petite amie éconduit mon cher Koveras ?)